De la penderie de Vanessa Bruno, rien pas même un p'tit haut tout beau ne figure de toute sa superbe dans mon dressing. Non pas que les lignes élégantes, sobres et modernes de ses collections me rebutent, loin de là (aaaaaaah ses petites robes noires du soir...)... Cependant ma bourse, ma mitraille, mon porte sou, mes flocons d'métal qui fondent comme neige au soleil ne pourraient garnir les caisses de taffetas de cette délicate créatrice. Par contre ses poum poum caisses  et ses tambours... A l'instar de l'opus de Karl Lagerferld, la belle vient de nous livrer une compil' de miouzic démente. Imaginée comme la bande-son idéale de son univers, les notes folk et poétiques de "Plant a Tree" nous transportent dans ailleurs reposant, irrésistiblement cool et dépaysant (Birdy de 22 Pistepirkko)... On passe de chanson tendre (Dancing in the Moonlight), à de vraies ballades sauce barbecue (Waitin' Round to Die de Townes Van Zandt) en croisant sur le chemin une curiosité kitsch à souhait aux paroles improbables de Kevin Ayers (Puis-je ?). J'adore les découvertes, et je vous incite furieusement à dorloter vos oreilles avec la compil de la demoiselle, en commencant avec ce titre de Kate Bush, de la poudre d'escampette pour noreilles pure... C'est s'approcher un  peu plus de ses robes aussi, n'est ce pas ?

... Mais vraiment parce que moi et l'aspartame nous ne faisons qu'un, que le meilleur packaging d'aspartame au monde est le Canderel, mais alors vraiment pour ça (et aussi peut-être parce que bin en fait, Buzzparadise nous alléchait avec une surpraïze dans le kit, peut-être un poil... muhaha), oui vraiment, j'ai accepté de testé pour toua cher lecteur le kit Délicéo. Mais késako coco ? Une poudre 0 calories, parfumée et colorée à plonger dans ta bouteille d'eau... pour voir le monde en Délicéo, si ça c'est pas beau ! Attennnnnnd, ne t'en va pas, tu vas voir on va s'marrer, et pour me faire pardonner de ne me pointer si tardivement en parlant buzzkit, plein de belles images je t'ai confectionné, avec l'aide des Pin-Up que Chantal Thomas avait  prêté à Canderel.

Le Hic  : Je commence par les choôoses qui fâchent. J'avoue qu'à la toute base, je ne suis pas fan fan des poudres à diluer, coz vieille réminiscence de traumatismes post prise d'aspirine forcée par le paternus. M'enfin là, c'est quand même pas pareil, c'est colorée, c'est gai, c'est funky baby ! Ils conseillent d'en mettre trois sticks par bouteille d'1,5 litre... Bin deux je trouve ça amplement suffisant (sauf pour le goût citron peut-être). Par contre faut vraiment que l'eau soit glacée, enfin froide, sinon le goût chimique peut vous remonter dans les narines (mais moi c'est pas pareil, suis habituée vu les litrons de coca light que je consomme !). Pis quand vous croisez un maâale il vous balance direct "Encore au régime  ma boule?"; oui parce qu'il s'imagine que c'est une boisson draînante le con, comme si j'en avais besoin en plus (môman !!) ! Enfin pour ma part je me délecte d'eau à raison de 2 litres par jours, par goût, j'adore l'eau, donc même après l'avoir goûté, je n'irai pas naturellement en mettre partout.

Le chic : J'adore le goût menthe, hyper frais et désaltérant... Limite mieux que le fameux perrier citron en terrasse. Et surtout, histoire de jouer les minis pouffes, j'avoue m'être bien marrée à trimballer ma bouteille de flotte comme un accessoire mode. Bin oui, héhé, pas folle la guêpe, j'ai assorti mes sautoirs ou chaussures ou sac à la chose pour le fun, et hihaaaa comment que je me la suis pétée ! Ok je déconne... Le goût framboise est pas mal, voire même plutôt addictif mais à consommer avec modération, au risque d'être au bord de l'écœurement. Quand au goût citron, que ce soit en tarte ou en sorbet, je ne suis pas fan, alors en stick canderel hein...

Le plus : Leurs anim' sont follement gaies, que tu tombes sur une photo en noir et blanc et qu'en gesticulant de la souris tu colores la photo en deux secondes. C'est débile, je suis restée bien quinze minutes à m'amuser avec dites donc ! Pis c'est aussi l'occasion de vous parler du canderel, mon cher ami qui depuis des années allège mes desserts et m'accompagne dans chacune de mes phases diète. Sur leur site se trouvent quelques recettes fort astucieuses, et je me souviens avec tendresse du clafoutis au cerise que me préparait ma mère, calmant ma gourmandise sans compromettre ma ligne ! En somme je trouve ces petits sticks fort attrayants, bien que je ne les utiliserai pas quotidiennement. Et vous le canderel, les boissons un poil chimique, vous en pensez quoi ?

    Alors si ça c'est pas une bonne nouvelle qui déchire ! Que l'on ait été touché ou non ces six dernières années par le sort d'Ingrid Bétancourt, l'on ne peut qu'être ému par sa soudaine mais si attendue libération... Je ne sais pas pour vous, mais je pensais souvent à elle, à ses enfants surtout... Bon sang mais quel bonheur pour eux ! Yeepee... Pour une fois que les dépêches AFP me transportent de joie, bin je ne pouvais pas ne pas mettre un mot ici. Happy fruit confit je suis !!!

Aucun Rapport Odile : Toujours pas de wifi à la maison, donc accés trèèèèès ralenti on the oueb, donc trèèèèèèès dur pour ouam de bloguer ;-) Z'vous aime quand même ;-)

La vie est bien faite. Pour tester mes nerfs, la vie est très bien faite. Y'a pas mieux qu'un bon retour de baton qui te dirait "Welcome in reality honey". Or ma réalité est toute pourrie ce soir, je crie à l'infamie. Yaaaaaaaaaa, oh petit boitier noir si fou, aux ondes si riches et porteuses de joie, pourquoi, mais pourquoi a-t-il fallu que tu t'amouraches du chat ?!! Oui, pourquoi ? Toi le cat, que je nourris, chéris,  pétris (oui massis ou carressis c'est pas français) tous les matins que dieu fait, et les soirs aussi, pourquoi  t'es tu follement  attaché à notre boite en plastique noire, sésame nous ouvrant toutes les lucarnes inimaginables du monde ? Hein dites moi tout, pourquoi ? Gniii, la fille de la chatte de la coloc (bizarre c'te phrase) s'est envoyée en l'air (de plus en plus zarb) avec notre freebox !!! Haaaaaaaa plus de wi-fi avant quinze jours !!! Ouin, grmph, stach stach, môman, je veux mourrir. De toute façon la vie c'est tout pourri, si c'est vrai, ca pue la vie, c'est noir comme un brouillard sans lune, gniiiiiii.

Grmph.
Pffff.
Snifff.
Aaaargh.
Stach Stach.
Vous l'aurez compris, je n'ai plus de connexion wi-fi at home depuis quelques jours.
Elle ne sera pas rétablie avant quelques siècles.
Je vais p'tet m'installer au boulot pour pouvoir enfin poster ma vingtaine de billet qui traînent.
La fille de la chatte de la coloc va bien.  

Mille excuse, re-encore, pour mon absence de la blogosphère, mais c'est pas comme si au boulot le proverbe du mois de ouinj était "Qui peut le plus, peut le beaucoup plus". Donc pas possible depuis le boulot de poster, plus possible à la zonzon de se connecter, à très très vite si le dieu Free le veut bien.

    Le tournage passé, il ne nous reste plus qu'à monter, étalonner, mixer, composer la miouzic, animer certains passages... Mais pour le moment c'est repos dodo, enfin pas dodo pour de vrai hein, mais les étapes précédant un tournage, surtout quand vous occupez à la fois les postes de productrice, réalisatrice et comédienne, sont tellement éprouvantes, le tournage lui-même tellement haletant... Qu'il est important, avant de regarder le travail, de s'octroyer un souffle, une parenthèse pour prendre un recul salvateur. Nous espérons pouvoir livrer notre bébé mi-août... Mais pour vous tenir un poil en haleine de bouc, je vous laisse regarder ces quelques photos...

    Nous avons eu la chance d'être entourée d'une équipe merveilleuse. Côté déco, nous demandions à  deux fourmis fort jolies un boulot dantesque, soit quatre tableaux (quatre séquences très distinctes), à réaliser avec une somme toute rikiki (auto-prod quand tu nous tiens !!)... Pour créer un coin cosy et girly, on a fait une rasia sur les cageots du marché... Bin ça en jetait tellement que dans mon prochain appart, j'vais m'faire la même. Bon par contre faut les prendre costaud les cageots, et les fixer un poil au mur, sinon c'est la débandade ! Et oui, ci-dessous c'est bien une cage à oiseaux pendue dans un arbre... Dans un appartement... Huhu...

Je vous laisse avec ces quelques clichés, sur 550 photos, difficiles de faire un tri, d'autant qu'il m'en manque beaucoup sur deux séquences... Vous pourrez découvrir la bouille de ma trop top cops co-réal Camille Ghanassia, comédienne forcément, fort douée, qui jouera notamment tous les soirs dès la rentrée dans les Monologues du vagin. Enfin ces quelques photos aussi, pour vous donner une idée de la lumière, réalisée par notre Chef op si fou si chou et breton en plus, Arthur Le Ret... Maintenant je suis toute flippée, parce qu'à force de présenter les photos du tournage, on a super peur que tout ceux qui les auront vu soient déçus au visionnage... Enfin ça, c'est une autre histoire !

21 LOVE HOTEL - Ennui

D'habitude je fais quelques recherches approfondies, d''habitude j'essaye de disséquer les artistes me faisant frémir, d'habitude je ... Tu... Il... Mais cette fois ci, j'ai juste envie de passer le relais, car après le visionnage de ce clip je suis comme en apesanteur, langoureusement affalée sur de doux courants d'airs. Je ne connaissais rien de 21 love Hotel fin mai, mais Anne, la scripte de folie opérant sur notre court vint à mon secours en me parlant d'eux. Ce clip est tout simplement merveilleux... Littéralement merveilleux, comme l'évidence soudaine que le surréalisme se réalise extrêmement bien, quand il est confié à un réal comme Olivier Chabalier, ou un spécialiste de l'anim comme Cyprien Nozières... Et que dire de la voix savoureuse et entêtante enrobant ce premier titre ? Rien de plus sinon envoutants, l'univers, le chant, le graphisme, rien de plus sinon envoûtants.

Plan séquence magique et surréaliste, "Ennui" est le premier clip de 21 Love Hotel.    Réalisé par Olivier Chabalier et  Animation de Cyprien Nozières .

    Pour les besoins du tournage, nous recherchions une déco un poil décalée, or quelle ne fut pas ma joie, que dis-je, mon incommensurable bonheur (je n'en rajoute pas du tout ;-)), quand au détour d'une de mes ballades chez Fleux, je tombais sur ce drôle de lapin lampion. Enfin lapin lampe plutôt, mais lapin lampion c'est trop meugnon d'abord ! Bref... J'ai l'impression d'avoir un nouveau doudou dans mon nid douillet, c'est incroyable ce que cette loupiotte peut-être attachante. Oui j'en suis gaga, même que quand je l'allume je lui dis des mots tout bas, dans ses grandes oreilles, et lorsque vient l'heure d'éteindre, bin je lui souhaite bonne nuit. Si, si, si ! Gnak gnak gnak, je crois que je suis en train de péter un boulard ! Help ! Huhu... En même temps j'ai la meilleure excuse de la terre, pour être complétement gaga de ma bestiole lumineuse, si : Litchie le petit chat minou miaow de la coloc, que nous avons vu grandir et que nous adorons, appartient à Coué coué avant tout... Et Coué coué va l'embarquer au Maroc l'année prochaine, parce que madame vient d'y trouver son premier emploi. Râaaaaaaaa, elle va mettre la méditerranée entre nous et le chat miaow, oh désespoir, oh fatale destinée qu'est la notre... Mais pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?! Le choc passée de cette annonce fort douloureuse, il me fallait me dégoter un substitut très vite, et hop voilà mon Lapin Lampion. Qu'en fait on dirait plutôt une lapine. Son p'tit nom ? Laaaaaaaapin ! Comme dans la pioub... Pourquoi faire comliqué, hein ?! Huhu... Bon le premier qui se moque de mon Lapin, je lui fait bouffer l'herbe par la racine... Lapinou minou chouchou trop chou.

Lampe Lapinou, dégotée chez Fleux pour la modique somme de 39 euros ;-)
Fleux, 39 rue sainte croix de la bretonnerie, 75004 Paris.

    Souvent quand la déprime flirte avec mes sens je me demande pourquoi je me suis choisi un chemin aussi compliqué que celui d' "artiste" entre guillemet, souligné, sous lignée... Lignée de quoi d'abord. Si la même passion créatrice s'était exprimée à travers les chiffres, je serais la plus puissante des expertes de Wallstreet, tant mes efforts réduisent mes heures de repos. Je dors, je respire, je souffle, je ressens, je goûte à tout pour cette sensibilité particulière qui m'anime. Cette imagination débordante, ce regard qui si souvent m'isolait des autres, ce besoin viscéral de VIVRE, de ressentir, d'être sans le paraître, d'être... NUE et en scène, oubliée et en sourdine, pour laisser naître un témoignage, une histoire, un personnage. J'ai énormément souffert, jeune, des têtes à têtes avec ma tête, des têtes à tête avec mon être fondu en cette planète drôlement foutue... J'aurais mille fois préféré être passionnée par le droit, par la médecine ou par les sciences... Au moins aujourd'hui je n'hésiterais pas entre le papier toilette et les pâtes lors des fins d'mois difficiles des intermittents. La bohème, elle me fait rire, et pourtant je ne courrais pas après, je n'ai jamais fantasmé sur l'artiste fou et paumé, je ne cherche pas la déroute ou la bankeroute pour vivre plus fort, parce que depuis mes premiers mois déjà je ressentais trop fort. Tout me touche, je suis une éponge, et je bois, je bois, je bois l'âme des autres à n'en plus pouvoir, et lorsque l'étouffement me guette je gerbe, c'est l'mot, aussi vulgaire soit-il,  je gerbe cette folie, cette passion, ce bout d'ailleurs qui se dépose sur mes p'tits papiers. 
    Je me sens incomprise, or l'on dit que l' "artiste" quoi qu'il en soit est incompris, et pourtant il me semble que nous sommes tous l'incompris de quelqu'un, ainsi j'avais besoin de me livrer un peu plus, de vous expliquer, et peut-être me comprendrez vous, ou pas, mais l'important c'est que je vide ma sacoche de pelotes nouées, nan ?

Edit : Rôo bah nan mais là c'est n'importe quoi ma bonne dame, je n'avais pas prévu de vous livrer ce texte aujourd'hui... Je l'ai écrit il y a quelques semaines, et repoussais toujours sa mise en ligne... Et puis voilà, patatra, il est sorti tout seul. Alors je vous le laisse, avec en guise d'illustr' la première photo de tournage d'Am Stram Gram, les p'tits courts que je viens de co-réalisé et interprété avec Cam cam ;-)

    Dim dam doum... Zouuuuuuu c'est parti pour un tour, dernière ligne droite avant de mettre les p'tits courts (métrages) en boîte. Nous tournons du 31 mai au 7 ouinj, et d'ici là les rares heures que j'aurai de libre seront consacrées à mes rendez-vous avec morphée... (Parenthèse quetch'ionne : pourquoi mais pourquoi donc, tout mais tout arrive en même temps, hein dites donc !! J'ai rarement été aussi charrette, mais pourquoi donc ?!). Dans cette course follement folle folle folle et farfelue, où le stress envahit tout mon p'tit être (môman), le plaisir de voir se réaliser notre imaginaire est d'une rare intensité. Je n'ai toujours pas dévoilé les scénarii des deux courts que je co-réalise et interprête avec ma super cops Cam cam (parce que les surpraïzeee c'est plus top d'abord), mais avec ces drôles de costumes fraîchement livrés, je roucoule de bonheur et sème quelques nouveaux indices. Dans deux séquences, Cam cam et ouam interprêtons deux gamines d'une enfance un poil fantasmagorique. Et Emilie Zanon, jeune artiste et créatrice ahurissante, s'est occupée de nous confectionner ces drôles de robettes, en piochant dans une large pile de robes et jupons de vraies petites filles, chinés deci delà... Le résultat n'est-il pas trop chou quand même ?

(celle là c'est ma mienne à moi d'abord, me reste plus qu'à perdre quinze tonne et je s'rai toute belle dedans même que)

Avant de collaborer avec Cam cam sur ces courts, je ne savais rien de ce drôle de minois de Zanon... Gros coup de coeur pour ces quelques créations, pleines de poésie et d'une excentricité sucrée comme le jus des cerises, Emilie Zanon est furieusement douée, je lui souhaite un succès aussi doux et démesuré que son drôle de pull, au moins aussi fou !

Spécheul dédicace à la tip top modèle qui prend un sac pour une robe de soirée (faut pas lui en vouloir, ce sont ses racines blondes qui dansent la java entre ses deux oreilles, muhaha). Cette folldinguo vient de décrocher un rôle dans Kaaaaaaamelott la #%@?!... (moi jalouse que tu fréquentes la famille Astier ? Muhaha... Gniiiiii)... Féliciations choupette, tu l'mérites tant, profite !!

    Excusez mon absence de la blogosphère, de vos p'tits chez vous et des coms de vos billets doux, dès le 8 juin, promis, je reprend une vie sociale normale...

    Habiter à 300 mètres d'une fantastique pâtisserie aurait pu causer la perte de ma culotte de jument depuis belle lurette, heureusement la boutique de Sadaharu Aoki se trouve en bas d'une  côte... Et au début du chemin se trouve une boulangerie toute aussi délicieuse, mais alors que je m'apprête à déménager et quitter ce merveilleux quartier, je me rends compte que j'aurais quand même dû y trainer plus souvent... Hier après-midi, en guise de virgule à notre ballade entre amoureux, mon chéri et ouam consentions à entretenir nos bedons en nous approvisionnant de gourmandises chez LE pâtissier japonais de Panam. Et nous ne fûmes pas déçus ! L'on se croirait presque dans une bijouterie tant ses pâtisseries sont joliment montées, et si nos langues et nos papilles n'étaient pas aussi faibles, peut-être n'oserions nous pas y toucher... Hélas elles sont aussi faible qu'un brin de paille à proximité d'un brasier, et à peine les ramenions nous chez nous, que mon cher et tendre dévorait sans attendre son dôme macaron au citron, garni d'une étourdissante créme chocolat ivoire et d'une feuillantine pralinée. Je n'ai donc pas eu le temps de prendre les photos moi-même et me suis permise de glaner ces quelques clichés sur son site et on the oueb.

    Le génie d'Aoki, réside dans l'exquise adaptation de nos pâtisseries bien françaises à la sauce nippone. Mes papilles, je dois bien l'admettre, sont particulièrement chauvines... C'était sans compter la poésie et l'exotisme si singulier de cet artiste japonais. Oui cet artiste... Qui apaise nos gourmandises frenchies, avec quelques feuilles de "macha" (thé vert) ou une pincée de gingembre. Apaise c'est le mot, tant elles sont légères, et soudainement moins "sucrasses" que d'ordinaire. Mon namoureux heureux s'est entiché follement de sa tarte au citron également, mais du côté de mon bedon c'est plutôt sur sa tarte au caramel au beurre salé, agrémentée d'une crème au chocolat ahurissante que je succombe. Et comble du bonheur, la recette de cet incroyable met des dieux (je n'en rajoute absolument pas) se trouve online, sur le site de Marie-Claire... L'est pas furieusement belle la vie ? Oh que si...

Trois points de ventes à Panam
35 rue de vaugirard (XV), 56 boulevard Port Royal (VI), et aux Galeries Lafayette Gourmet.
Dico Gourmand :
# Oishii : Délicieux # Daisuki Desu : J'adore # Kéki : Gâteau #